Les chefs d’entreprise en général ont intérêt à voir les idées d’Éric Beeharry appliquées. Car elles visent à créer un environnement plus favorable au développement économique.
Mais aussi via une plus grande performance des services publics (la sécurité notamment), des collectivités et des infrastructures. Sans oublier le capital humain des Réunionnais (éducation populaire, formation professionnelle, études supérieures, etc.), enjeu incontournable pour l’avenir de notre territoire et de nos entreprises.
Sont entre autres concernés :
– Les assurances, car l’allocation universelle transférera aux assurances privées la protection sociale aujourd’hui gérée par la Sécurité Sociale, le RSI, la CAF, le Conseil Départemental, les CCAS des mairies, etc.
– La formation, qui connaîtra un essor exponentiel, grâce à l’allocation universelle instaurant de fait le principe de flexisécurité qui donne le droit à une formation financée et rémunérée à chaque demandeur d’emploi.
– Le tourisme, car nous envisageons un pacte de mesures susceptible de sortir l’île de son tourisme affinitaire et enfin l’ouvrir au monde. Générant ainsi un boom du nombre de touristes à la Réunion et donc des revenus des entreprises liées : agences de voyage, hôtels, restaurants, loisirs, événementiel, transports, commerces, etc.
– Les conseils et les services aux entreprises, car notre programme dopera la création d’entreprises avec un capital assurant leur décollage et générant ainsi de la demande B2B : publicité, commercial, secrétariat, comptabilité, gestion, agences immobilières, mobilier et équipements, etc.
– Le BTP et les agences immobilières, par notre proposition de défiscalisation puissante et durable dans l’immobilier qui dopera la construction, les ventes et les locations.
– La restauration, l’agroalimentaire et les artisans en général, puisque nous voulons stimuler la concurrence dans la distribution afin d’abaisser les prix et diversifier l’offre au public via le commerce direct, la mutualisation des moyens des TPE et le numérique.
– Le numérique et les NTIC, parce que nous voulons digitaliser les administrations et inciter les entreprises à faire de même, afin de fluidifier les relations entre le public et celles-ci.
